Bienvenue chez les Branlos : un blog inutile, mais nécessaire

Il fallait bien que ça arrive.
Il fallait bien qu’un jour, une bande de potes désabusés, à mi-chemin entre le développeur insomniaque et le troll semi-lucidement éclairé, se dise :

« Tiens, si on partageait notre aigreur avec le monde ? »

C’est ainsi qu’est né Branlos.

Un nom soigneusement choisi, parce qu’il colle parfaitement à notre réalité : on est une belle bande de branleurs.

On aime la tech, on vit avec elle, parfois même on travaille dedans (les plus malchanceux d’entre nous), mais surtout… on la critique. Fort. Tout le temps. Avec une mauvaise foi parfaitement assumée.

Pourquoi un blog ?

Parce qu’on en avait marre d’écrire des pavés sur Signal que personne ne lit.
Parce qu’on voulait créer un coin à nous, où le sarcasme est roi, l’analyse est subjective, et les conclusions sont souvent :

« Tout ça pour ça ? »

Ce blog n’a pas pour ambition de changer le monde.
Il a pour ambition de le regarder évoluer en grimaçant, les bras croisés, le café froid, le terminal ouvert, et le regard vide.

Et de temps en temps, de balancer un article pour dire que oui, on a vu la dernière nouveauté, et non, on n’est pas impressionnés.

Un graphiste ? Pour quoi faire ?

On aurait pu faire comme tout le monde. Engager un DA, brainstormer sur Figma, lancer une newsletter sur Substack, et poster des carrousels LinkedIn.
Mais non.
On a préféré faire confiance à la pure authenticité du thème par défaut de WordPress.
Pas par flemme (enfin… pas que), mais parce que c’est beau dans sa laideur. Brut. Sec. Brutalement honnête. Comme nous.

Ce que vous trouverez ici

  • Des critiques de gadgets qui coûtent trop cher et font trop peu.
  • Des réflexions sur le monde numérique avec autant d’enthousiasme qu’un lundi matin sans café.
  • Des insultes subtiles envers la blockchain, le Web3, le prompt engineering, les smartphones pliables, les start-ups en « as-a-service ».
  • De l’amour vache pour cette tech qu’on aime autant qu’on la hait.

Et maintenant ?

Maintenant, on écrit.
On râle.
On déconstruit.
On regarde passer les innovations comme on regarde passer les bus : en se demandant si on n’aurait pas mieux fait de rester chez soi.

Vous pouvez lire, commenter, ou hurler dans le vide.

Mais sachez une chose :


La tech avance.
Nous, on soupire.

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